Le renvoi comme instrument des Etats Parties et meilleur « compagnon » de la Cour pénale internationale

Auteurs

  • Rigobert PHUATI NSUAMI Doctorant en droit, Département Droit international public et Relations internationales, Université de Kinshasa ( UNIKIN), Kinshasa, RDC et Chercheur PhD au Centre de Recherches en Droit pénal ( CRDP), Université Libre de Bruxelles (ULB), Bruxelles, Belgique.

Mots-clés :

Renvoi, CPI, Instrument, Compagnon

Résumé

L’article 14 du Statut de la Cour pénale internationale  institue le renvoi par un Etat Partie en tant que mode de saisine de la Cour à coté du renvoi par le Conseil de securité ( article 13-b) et la saisine proprio motu ( article 13-c).  Au cours de ses vingt deux premières années d’existence, le renvoi s’est révélé à la fois comme un instrument des Etats Parties et un meilleur compagnon de la CPI. Considerée sous l’angle utilitariste, la justice pénale internationale ( avec ses multiples procédures) a toujours été vue comme celle des puissants contre les faibles. Malgré ces reproches, à travers le renvoi  l’on a assisté à l’évolution de la jurisprudence et surtout à l’effectivité de l’activité de la Cour.

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Publiée

2024-08-16

Comment citer

PHUATI NSUAMI , R. (2024). Le renvoi comme instrument des Etats Parties et meilleur « compagnon » de la Cour pénale internationale . Revue Francophone, 2(3). Consulté à l’adresse https://revuefrancophone.fr/index.php/home/article/view/41

Numéro

Rubrique

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